L’arrivée d’Elon Musk à la tête de Twitter et l’éviction de son ancien PDG Jack Dorsey ainsi que de ses cadres corrompus est bénédiction tant ce réseau était représentatif d’une vision à la big brother de la liberté d’expression à savoir un outil idéal de répression des libertés individuelles, de dissimulation de crimes d’État, mais aussi de conditionnement des consciences.
Toutes les révélations relatives aux saloperies commises sur ce réseau social étaient, comme le reste, réputées relever de théories de la conspiration.
Jusqu’à ce qu’Elon Musk mette la main sur les preuves de cette conspiration en récupérant et en publiant les échanges internes de Twitter auprès de quelques journalistes d’investigations, des vrais.
Voici donc les faits, rien que les faits
NE PAS GENER BIDEN
Les informations relatives à l’enquête journalistique du New York Post concernant Hunter Biden, fils du candidat démocrate Joe Biden ont été envoyées sur Twitter 15 jours avant les élections.
Ces informations, recueillies sur l’ordinateur portable du fils Biden mettaient en évidence la corruption des autorités ukrainiennes au bénéfice des Biden, elles relèvent les déviations sexuelles (pour le moins) d’Hunter Biden.
L’ensemble de ces informations ont fait l’objet d’un blocage à l’initiative de la responsable juridique de Twitter, Vijaya Gade ainsi que le précise Matt Taibbi qui a creusé les mails interne. Twitter a supprimé tous les liens vers l’article du New York Post, bloqué la diffusion par ses abonnés.
Michael Shellenberger révèle aussi que l’équipe de sécurité de Twitter a repris l’argument du FBI considérant que l’affaire Hunter Biden était une opération d’intoxication russe, alors que l’ensemble des éléments ont été authentifiés.
Le porte-parole de la Maison blanche veut reposter l’article sur Twitter, il n’y parvient pas davantage et son compte est désactivé.
MARGINALISER CEUX QUI NE PENSENT PAS « COMME IL FAUT »
Des listes noires d’abonnés non suspendus ont été créées par des équipes d’employés de Twitter en fonction des positions prises par ces abonnés ou de leur participation à certains sujets de discussion ainsi que nous le révèle la journaliste Bari Weiss.
Évidemment les abonnés n’ont pas été informés de ce fichage mais l’ont subi quelquefois sans s’en rendre compte par le principe du shadow banning permettant de rendre invisible tout post ou commentaire sauf pour leur auteur.
Parmi les membres de ces listes noires : moi, vous peut-être, mais aussi des personnes plus connues telles que Charlie Kirk, l’animateur de talk-show Dan Bongino, ou encore le docteur Jay Bhattacharya, résistant à la folie sanitaire liberticide autour du Covid. Pour eux Twitter a inactivé les recherches et les a exclu des tendances. Ils étaient là, mais sans apparaître, pire que bâillonnés, invisibles.
Défendant de telles pratiques sans reconnaître la réalité du shadow-ban, les deux responsables de Twitter ont prétendu : « [s’]attaquer aux acteurs de mauvaise foi qui ont l’intention de manipuler ou de détourner une conversation saine. […] Les tweets provenant d’acteurs de mauvaise foi qui ont l’intention de manipuler ou de diviser la conversation doivent être classés plus bas [dans les recherches]. Ce dernier point constitue la base de notre travail visant à favoriser une conversation publique saine».
Sous cette novlangue, il convient bien de déchiffrer le langage utilisé : mauvaise foi = non conforme à l’idéologie gauchisante ; conversation saine = conforme à l’idéologie gauchisante ; manipuler ou détourner = corriger une information biaisée. Ce qui donne la déclaration suivante :
« [s’]attaquer aux abonnés dont les idées ne sont pas les nôtres qui ont l’intention de corriger nos informations orientées. […] Les tweets provenant d’acteurs dont les idées ne sont pas les nôtres et qui ont l’intention de nous contredire doivent être classés plus bas [dans les recherches]. Ce dernier point constitue la base de notre travail visant à favoriser la désinformation».
Mais les deux responsables de la malfaisance du réseau en disent davantage pour révéler le caractère viral de leurs listes noires. Ainsi suivre une personne black-listée pouvait vous black-lister, de même si vous repostiez une information d’une personne signalée « de mauvaise foi » ; se faire bloquer par un abonné à idéologie conforme est aussi une façon de passer éventuellement en black list.
La suspension ensuite répond à des conceptions particulières de « conduites haineuses » interprétées comme tout acte militant non approuvé par l’idéologie gauchisante. Ainsi le compte « Libs of Tik-Tok » a été suspendu pour avoir « harcelé en ligne des hôpitaux » mais a seulement dénoncé des établissements de soin réalisant des « transitions sexuelles ». Par contre la horde woke a publié la photo de la maison de l’abonné « Libs of Tik-Tok » avec son adresse, mais Twitter a considéré que cela n’enfreignait pas ses règles mettant en danger la vie de l’abonnée par sa non-assistance après avoir donné les moyens de cette mise en danger.
PARTICIPER A L’ELIMINATION DU PRESIDENT TRUMP
On ne va pas revenir ici sur l’ensemble des bidonnages du processus électoral lors des élections US de novembre 2020. Mais Twitter y a joué un rôle en supprimant ou shadow bannant tous les contenus pro Trump ou révélant la pourriture des Biden.
En supprimant le compte du président Trump, deux jours après les évènements du Capitole, Twitter a participé à la diffusion des fake news relatives à l’inversion accusatoire de Biden accusant le président élu Trump de putschisme.
ORGANISATION D’UN REGIME DE CONTROLE POLICIER
Pire si c’est possible. Yoel Roth, ancien responsable de la sécurité chez Twitter, a demandé aux employés de répertorier toutes les utilisations du terme « stopthesteal » (en référence au bidonnage du processus électoral par Biden) afin de faire remonter les auteurs de ces termes auprès du FBI dont le rôle a aussi été particulièrement trouble.
Plus qu’interdire le compte TRUMP, Twitter a poussé à des arrestations de ses abonnés dans l’affaire du Capitol !
Comme le précise Marc Taibbi cette collaboration avec le FBI est évidente dès l’ouverture du processus électoral et bien avant.
Il ne s’agissait pas seulement de bloquer toute information pouvant atteindre les Biden mais aussi faire ficher auprès des services du FBI toute mise en cause des opérations de bidonnage du scrutin présidentiel.
Un des mails mis en évidence émanant d’un cadre de Twitter qualifie la relation entre le FBI et Twitter de « synchronisation gouvernement-industrie » tant la fréquence des mails et des réunions étaient importantes. Pour cette collaboration Twitter a perçu 3,5 millions de dollars d’octobre 2019 à février 2021 soustraits au contribuable US par le FBI et ceci pour contrôle ce qui « se pensait » et pour l’influer.
DEFENSE DU REGIME DE FAKE NEWS GOUVERNEMENTALE SUR LE COVID
Là encore toute remise en cause des délires de Fauci et de Biden incitant à l’injection et défendant des mesures d’exception a donné lieu à des représailles de Twitter.
Ainsi, comme le précise David Zweig, toute information fondée mais n’allant pas dans le sens du régime Biden a été censurée, les médecins en désaccord avec la politique sanitaire ont été discrédités par Twitter, des comptes ont été suspendus pour exprimer leurs désaccords. Une des premières réunion de Twitter avec l’équipe du régime Biden concernait les comptes repérés comme « anti vax » et considérés comme nuisibles.
Il est intéressant de noter comment Twitter a régi à un post du Docteur Martin Kulldorff, épidémiologiste à la Harvard Medical School, lequel précisait que les enfants n’avaient pas besoin d’être vaccinés, pas plus que ceux qui avaient déjà contracté le coronavirus. Suite à ce post donc, un modérateur de Twitter demande à ce qu’une action soit mise en place pour diffusion de fausse information sur le Covid 19, finalement un bandeau est diffusé sur son Tweet précisant que cette information est fausse et qu’elle ne peut être likée, partagée et que l’on ne peut le commenter.
VIREZ LES TOUS
L’ancienne direction de Twitter est donc bien responsable de conspiration contre le peuple Américain. Une bonne partie des effectifs a été virée, mais il ne faut pas s’arrêter en si bon chemin car tous se sont mal comportés, ils savaient et se créaient comptes et bots pour exprimer leur délires de toute puissance.
Il faut donc virer tout le personnel, puisqu’aujourd’hui encore on peut recevoir ça :

Ou encore cela après avoir critiqué Biden, et notamment ses attitudes particulières vis-à-vis des enfants : :
